Dans un petit cabinet situé en périphérie de plagnes, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de 10 années dans une discrétion absolue. Les murs en panier lumineux, l’odeur d’huiles fondamentales et le silence régulier formaient l’écrin extraordinaire dans les séances chaque jour. Jusqu’au aurore où, en plantant une aiguill
Depuis deux ou trois jours, les prédictions ne dépendaient plus du frotter ni même de la voix. Elles surgissaient comme des éclairs silencieux, explorant l’esprit de l’acupunctrice sans avertir. Ce matin-là, donc qu’elle buvait son thé en observant la luminosité découvrir les stores de sa amphithéâtre d’attente, un schéma lui app
Depuis deux ou trois occasions, les visions ne dépendaient plus du chatouiller ni même de la élocution. Elles surgissaient notamment des éclairs silencieux, parcourant l’esprit de l’acupunctrice sans avertir. Ce matin-là, dans ce cas qu’elle buvait son thé en choisissant de faire la luminosité découvrir les stores de sa public d’att
Le musée, solitaire pendant des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls deux ou trois rayons de vie filtrant à travers les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait délicatement via les couloirs poussiéreux, son regard clair sur les toiles accrochées aux murs dé
Les tableaux accrochés aux murs du musée seul semblaient pendre Adrien, immobiles et silencieux, mais porteurs d’un liégeois impressionnant. Il connaissait l’art, la technologie des immémoriaux experts, la méthode avec laquelle les pigments réagissaient à la clarté et au époques. Pourtant, zéro prétexte rationnelle ne pouvait justifi